Le panthéon.

 

 Le Dieu Unique, créateur du Monde Adulé des plus érudits, Puissant au dessus des puissants, Dieu au dessus des Dieux, il est l'essence de la vie même. Tous le connaissent et tous le craignent. Tous le vénèrent, du moins en apparence, car beaucoup préfèrent vénérer des Dieux moins puissants, mais qu'ils considèrent comme plus proches.

 

 

Eolia

 

Déesse de l'air

 

C'est la déesse de l'air et de la légèreté. Ses plus grands adorateurs vont même jusqu'à penser qu'elle est à l'origine de tous les bienfaits du monde. Sur les monuments, cette Déesse est drapée d'une robe vaporeuse de couleur bleue/grise. D'une beauté sans égale, elle tient un nuage dans sa main droite. D'un caractère stable et doux, cette Déesse est réputée pour tous ses bienfaits.

 

 

Posicillon

 

Dieu de l'eau

 

C'est le dieu des Mers et des Océans, ainsi que du règne aquatique. Sur les monuments, ce Dieu est représenté de noble allure, paré d'habits étincelants que l'on dit composés à partir des richesses perdues dans les mers. Dans la main droite il tient un trident. D'un caractère fort, ce Dieu pourtant bon peut être sujet à des colères subites.

 

 

Fimine

 

Déesse de la terre

C'est la déesse de la terre, des vignes et des plantations. Son culte étant lié au vin, il amène l'Homme à s'écarter des principes. Sur les monuments, cette Déesse est représentée vêtue uniquement d'une tunique blanche. Parée d'une couronne de raisins, elle tient également une serpe dans la main droite et une amphore dans la gauche. D'un caractère toujours enclin à la fête et la débauche, cette Déesse n'en sait pas moins jouer de ses charmes et de son vin pour séduire ses ennemis et les rendre dociles.

 

 

Vulfume

 

Dieu du feu.

C'est le dieu du feu, des métaux et de toutes les matières fusibles, des volcans et des forgerons. C'est le plus laborieux des dieux. Les armes prises à l'ennemi lui étaient consacrées. Sur les monuments, ce Dieu est représenté barbu, la chevelure un peu négligée, à moitié couvert d'un habit (parfois une peau de bête) qui ne lui descend qu'au-dessus du genou, portant un bonnet rond et pointu. De la main droite, il tient un marteau, et de la gauche, des tenailles. Bien que, selon la fable, il fût boiteux, les artistes supprimaient ce défaut ou l'exprimaient à peine sensible. Ainsi, il se présentait debout, mais sans aucune apparente difformité. Il n'en était pas moins laid et difforme, ce qui le rendait agressif, méprisant et belliqueux.